Macron, PDG de l’entreprise France à l’heure de la mondialisation libérale

Il est toujours périlleux de se lancer dans une analyse de la conjoncture.
Les risques sont multiples, depuis le bavardage sans enjeu et donc sans intérêt, la vision tellement partielle et orientée idéologiquement qu’elle empêche toute critique et tout approfondissement jusqu’à la prétention à donner des leçons hors de toute modestie.
Pourtant, au risque de se tromper, il y a besoin de s’orienter, particulièrement dans la période actuelle. Il faut arrêter de naviguer à vue, entre le découragement des uns, l’activisme des autres, les incantations sur la convergence des luttes ou la démarcation par la violence.
Macron polarise toutes les détestations sur son nom, et le mouvement des Gilets Jaunes en est l’illustration. On peut dire qu’il y a un côté « normal », de par sa fonction présidentielle. Mais cette fois, on sent que cela va plus loin – quelque chose a changé, mais quoi ?

Tentons une explication, mais en prenant un peu de hauteur, en suivant le schéma suivant :

• Rappel de quelques périodes historiques, histoire d’éviter la confusion sur les termes

 Capitalisme et Impérialisme
 Mondialisation et impérialisme

• Le passage de la mondialisation néo-coloniale à la mondialisation libérale

 De Mai 68 et la Guerre du Vietnam à la crise
 Les années 80 et la crise capitaliste
 Les années 90, confusions et hésitations

• Les caractéristiques actuelles de la mondialisation libérale et ce qui a changé

 Les années 2000-2010
 En résumé, où en est-on ?

• Macron, PDG de l’entreprise France dans la guerre économique mondialisée

 Au niveau économique
 Au niveau social
 Au niveau politique
 Au niveau idéologique

• Quelle opposition ?

 Où en sont les réformistes et les militants radicaux ?
 Quels axes et quelles priorités pour les militants qui persistent à se revendiquer du communisme ?

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