L’OCML-VP > A propos de la brochure "Première réponse à Enver Hoxha"
A propos de la brochure "Première réponse à Enver Hoxha"
Résolution - Décembre 1991
Cette résolution date de 1991, donc entre le 2ème congrès de 1984, et le 3ème qui s’est tenu en 1993 avec le vote de notre plateforme, longue période difficile où l’essentiel du travail de VP passait par des commissions de travail théorique.
C’est un texte néanmoins important, car il corrige la brochure dite "Enver Hoxha" de juillet 1979, en apportant certains éléments de critique à la politique du PCC après la libération. Comme il est écrit dans le document, ce n’est en aucune manière une remise en cause de la définition de maoïste de l’OCML Voie Prolétarienne
Ce texte est le fruit d’une longue période de discussions dans Voie Prolétarienne sur certains aspects de la Révolution chinoise, plus spécialement avant 1957. Ces débats ont eu lieu à partir du travail de la commission de travail théorique sur la Dictature du Prolétariat, et ont permis une avancée de l’organisation, illustrée par ce document.
Attention : il ne s’agit pas d’un bilan de la Révolution Chinoise. Il s’agit d’une prise de position à un moment donné, d’une élaboration toujours en cours, comme point de repère pour jauger notre évolution. La diffusion externe de ce document doit donc être limitée, accompagnée de toutes les réserves et précisions nécessaires pour éviter les ambiguïtés. Dans tous les cas, les propositions de diffusion externe doivent être soumises au CD.
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INTRODUCTION
Ce document critique un chapitre [1] d’une brochure de Voie Prolétarienne datant de 1979. Sur certains points, il critique Mao Tsé Toung et le PCC. Ce n’est pourtant pas une remise en cause de notre référence au maoïsme (le travail est de toutes les façons inachevé), notre étude montrant à la fois la richesse de la révolution chinoise et son importance pour la révolution mondiale. Notons dès à présent pour apprécier correctement la politique du PCC et de Mao Tsé Toung, que si nous sommes capables aujourd’hui de faire cette critique, c’est entre autres grâce à l’expérience chinoise ultérieure à cette période, à la révolution culturelle en particulier.
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Le document complet, conforme à la version publiée dans le Bulletin Intérieur du 02/12/1991, à télécharger ci-contre.
[1] Le chapitre 2